14 juin 2012
Farniente
Un café brûlant et fort, au goût amer, le sucre resté sur le bord de la soucoupe et le bleu méditerranéen, issu du soleil. Le temps s'écoule lentement, paisible. Les sons sont comme amortis par la douceur de vivre. La chaleur s'insinue au travers de la peau. Il faut baisser suffisamment les paupières pour que les cils filtrent la lumière. Les pensées sont amollies et vagues. C'est un moment de farniente.
Publicité
Commentaires